Passés les temps tumultueux des cantiques et opéras,
Passés les paysages de nos randonnées d'expositions,
Une fois derrière nous le chant des oiseaux,
et les jeux enfantins des rayons du jour entre les arbres tous sereins,
Quand la rivière s'est endormie au fond de son lit,
Qu'aucun de nos totems n'est encore sorti de sa caverne,
Les sirènes font résonner leur souffle dans d'immenses symphonies,
et la nuit transpire des tréfonds de la terre,
elle avale tout jusqu'au ciel, s'immisce en mon coeur, et révulse nos humeurs.